Le père Olivier Maire a été assassiné dans l’ouest de la France un dimanche soir. Il appartenait à l’Ordre des Montfortaines, dont les activités sont principalement axées sur l’aide aux personnes dans le besoin. Mais les bonnes personnes ne rencontrent pas toujours de bonnes choses. L’homme qui a tué le prêtre avait été préalablement accepté par le clergé et avait utilisé son aide.
Lundi, le meurtrier lui-même s’est rendu à la police et a avoué le crime. Selon les enquêteurs, l’homme se trouve actuellement dans un service de psychiatrie car son état mental ne lui permet pas d’être maintenu en détention.
Comme le rapporte la presse française, l’autopsie du père Olivier Maire a révélé que l’ecclésiastique était décédé des suites de coups violents à la tête. La mort fut quasi instantanée, le prêtre souffrit d’une hémorragie interne juste après avoir reçu quelques coups.
Meurtre d’un prêtre en France. Est-ce du terrorisme ?
L’auteur présumé est arrivé en France en 2012 et tente de régulariser son séjour depuis 9 ans. L’homme a mis le feu à la cathédrale de Nantes en juillet de l’année dernière, depuis lors il est menacé de retour au Rwanda, mais l’homme attendait toujours une décision de justice dans cette affaire. Après son interpellation en 2020, l’homme a été placé sous contrôle judiciaire puis dans un hôpital psychiatrique. Après son départ, seul le curé de Saint-Laurent-sur-Sévre a voulu l’aider et l’a payé de sa vie.
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Les autorités ont confirmé que les actions du Rwandais n’étaient pas des actes de terreur et qu’il n’y avait aucune organisation derrière l’auteur.
“A ce stade de l’enquête, nous pensons que le mobile du meurtre d’un prêtre catholique en Vendée, dans l’ouest de la France, par un immigré rwandais n’était pas du terrorisme”, a déclaré le procureur de La Roche-sur-Yon Yannick Le Goater.
Les Français demandent pourquoi leur pays est impuissant face aux immigrés aux prises avec la maladie mentale.
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Il y a également une discussion dans les médias français sur les raisons pour lesquelles les nouveaux arrivants n’ont pas de soins de santé psychologique en France qui pourraient empêcher des crimes similaires.
LS
(Le Figaro)